Nos domaines thérapeutiques spécialisés

Notre vision est de garantir que nous commercialisons en Europe des produits qui apportent une valeur ajoutée et des bénéfices aux systèmes de santé comme aux patients.

Le développement et l’acquisition de produits innovants pour l’avenir sont essentiels pour continuer à construire notre portefeuille de produits.

Nous avons une expertise reconnue dans le développement et la commercialisation de nos propres produits comme ceux de nos partenaires qui possèdent des compétences complémentaires et qui partagent notre vision de l’amélioration des soins.

Nos efforts sont axés sur les besoins non satisfaits dans des domaines cliniques spécialisés où nous sommes convaincus que nos compétences et notre expérience peuvent faire toute la différence : gastroentérologie, hépatologie, médecine d’urgence et soins oncologiques de support.

 

 

 

Gastroentérologie

 

Nous avons une expertise de longue date dans la gastro-entérologie avec des laxatifs et des préparations coliques à base de macrogol.

Nous veillons à commercialiser des produits innovants destinés à améliorer la prévention du Cancer Colorectal grâce à la détection du taux d’adénomes (TDA*).

Le CCR est le 3ème cancer le plus fréquent en France avec 43 000 nouveaux cas par an et la deuxième cause de mortalité par cancer avec près de 18 000 décès par an. Bon nombre de ces décès et de ces nouveaux cas de CCR pourraient être évités (SFED – CNP-HGE 2018).

La préparation colique est une étape préalable indispensable à une coloscopie et un facteur essentiel de la qualité de cet examen. L’objectif du lavage colique est de permettre la meilleure visualisation possible de la muqueuse colique lors de la réalisation de ces actes. Une préparation colique correcte est l’un des critères majeurs de la qualité de la coloscopie (SFED – CNP-HGE 2018)

 
* Le TDA est défini par le pourcentage de patients d’âge ≥ 50 ans ayant 1 ou plusieurs adénomes détectés et enlevés au décours de coloscopies de dépistage.

 

 

Hépatologie

 

Nous sommes engagés pour la détection et la gestion précoce de l’encéphalopathie hépatique, un syndrome neuropsychiatrique fréquent et grave associé à la cirrhose.

En Europe, 200 000 personnes souffrent d’encéphalopathie hépatique, mais celle-ci reste sous-diagnostiquée et sous-traitée car de nombreux patients et soignants ignorent les signes et symptômes de la maladie. Il en résulte une mauvaise qualité de vie pour les patients et un fardeau important pour ceux qui prennent soin d’eux.

Les professionnels de santé n’identifient et ne traitent pas toujours les symptômes souvent subtils de l’encéphalopathie hépatique, ce qui conduit à des résultats insatisfaisants pour les patients et à une augmentation des admissions à l’hôpital.

 

Consortium Galaxy

 



Dans le cadre de notre engagement pour améliorer la prise en charge de l’encéphalopathie hépatique, nous avons rejoint le consortium Galaxy.

En combinant des compétences uniques dans les institutions européennes, GALAXY a l’ambition de réaliser une modélisation des systèmes intégrant à la fois des données multi-omiques et des données cliniques. GALAXY va étudier les signes précurseurs de la cirrhose hépatique alcoolique pour permettre une détection et un traitement précoces. Le projet GALAXY est financé par le programme-cadre Horizon 2020 de l’Union européenne (subvention numéro 668031).

 

 
1Amodio P, Del Piccolo F, Pettenò E, et al. Prevalence and prognostic value of quantified electroencephalogram (EEG) alterations in cirrhotic patients. J Hepatol. 2001;35(1):37-45.

 

 

Médecine d’urgence et Soins de Support

 

Nous sommes engagés dans la prise en charge précoce de l’hyperthermie maligne, maladie héréditaire, rare et mortelle.

L’Hyperthermie Maligne est définie comme une réponse anormale aux agents anesthésiques halogénés et/ou au curare dépolarisant chez des personnes présentant une anomalie génétique affectant le muscle strié squelettique (SFAR 2019)

L’hyperthermie Maligne s’exprime par une augmentation de la température corporelle ayant pour conséquence l’apparition d’une rigidité musculaire et de spasmes pouvant survenir au décours d’une chirurgie avec l’utilisation de certains anesthésiants.

Il est recommandé de dépister les patients à risque d’Hyperthermie Maligne lors de la consultation d’anesthésie avant chaque intervention.

La prise en charge de cette pathologie relève d’une urgence thérapeutique et le seul traitement actuellement disponible en France est le dantrolène par voie intraveineuse.

Prise en charge de l’Hyperthermie Maligne, Recommandations de Pratiques Professionnelles, SFAR 2019.

 

Norgine a également pour objectif de répondre aux besoins thérapeutiques des patients présentant des nausées et vomissements post-opératoires ou induits par des chimiothérapies ou des radiothérapies dans le cadre des Soins de support.

 

Les nausées et vomissements induits par une chimiothérapie (NVCI) sont un des effets indésirables les plus fréquents des chimiothérapies anticancéreuses. Les nausées et vomissements sont considérés comme aigus s’ils surviennent au cours des 24 premières heures après le début de la chimiothérapie et ils sont dits retardés s’ils surviennent entre 24h et 5 à 7 jours après la chimiothérapie.  Qu’ils soient aigus ou retardés, ils représentent toujours l’un des effets indésirables les plus redoutés par les patients qui débutent un traitement par chimiothérapie (Durand 2009).  Les nausées et vomissements induits par une chimiothérapie anticancéreuse altèrent de façon marquée la qualité de vie.

En effet, le mauvais contrôle des NVCI a un impact sur la qualité de vie des patients, sur leur activité quotidienne, sur leur activité professionnelle et sur leur vie sociale et relationnelle.

La survenue des NVCI peut également perturber la poursuite du traitement anticancéreux.

 

Comme pour la chimiothérapie, la radiothérapie peut entraîner des nausées et vomissements aigus (au cours des 24 premières heures de la radiothérapie) et retardés (s’ils surviennent après la 24ème heure). En fonction du site d’irradiation, 40% à 80% des patients traités par radiothérapie présentent des nausées et vomissements (AFSOS).

 

Les nausées et vomissements postopératoires (NVPO) peuvent être précoces, c’est-à-dire survenir dans les 6h après la fin de l’intervention, ou tardifs, pouvant alors durer plusieurs jours après l’intervention. Ce sont des effets indésirables particulièrement pénibles, redoutés et fréquents au décours d’une intervention chirurgicale.

Approximativement 30% de l’ensemble des patients sont sujets à des NVPO et, dans certains groupes à risque, cette incidence peut atteindre 80% (Pospiech 2014).

Les nausées et vomissements postopératoires sont invalidants et entraînent une dégradation marquée de la qualité de vie des patients.

Durand JP, Madelaine I, Scotté F. Recommandations pour la prévention et le traitement des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie. Guidelines for prophylaxis and treatment of chemotherapy-induced nausea and vomiting. Bulletin du Cancer 2009 ; 96(10).
Pospiech A et al. Prise en charge des nausées et vomissements postopératoires : une priorité. Louvain Med 2014 ; 133 :077-085.
Association Francophone pour les Soins Oncologiques de Support (AFSOS). Prise en charge des nausées-vomissements radio-induits. Référentiels interrégionaux en soins oncologiques de support, 2016.

 

Nous nous engageons à assurer en permanence la qualité, l’innocuité et l’efficacité de tous nos produits

Le partenaire d’une vie saine